Cette catastrophe naturelle provoque un géant tsunami qui ravage les côtes jusqu’à Fukushima où la centrale "explose".
Le séisme de magnitude 7,8 sur une échelle de 0 à 10, se fait ressentir jusqu’à Tokyo qui se situe 240 kilomètres plus au Sud. Ce tremblement de Terre est d’une si rare intensité que l’on dit qu’il est l’un des plus grands séismes jamais ressentis.
Pourquoi une telle catastrophe ?
Les japonais ont construit un mur contre les tsunamis ; malheureusement il ne résiste pas face aux vagues qui atteignent les 10 mètres.
La centrale nucléaire de Fukushima se situe sur le littoral du Pacifique. Elle a été installée ainsi pour permettre le refroidissement de ses réacteurs.
Après le séisme et le tsunami, la centrale reste paralysée, cela conduit à la perte de contrôle de trois réacteurs qui provoque l’explosion de la centrale.
Ainsi, à Fukushima se sont combinés trois risques - (deux naturels et un risque industriel). En effet, le séisme par sa force a provoqué un tsunami qui a eu pour conséquence la catastrophe nucléaire, dont les japonais souffrent encore aujourd’hui.
Quels sont les enjeux face à ces risques ?
Les enjeux sont majeurs, car ces littoraux japonais sont très denses en industries et en population. La population japonaise disposant d'une fine plaine littorale où s'installer.
B. Après la catastrophe
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Sur la photographie datant d’avant la catastrophe, nous voyons que la centrale est en bonne état mais en revanche sur celle d’après l’explosion, nous n'apercevons plus que les fondations de la centrale. Celle-ci est complètement détruite. Nous pouvons voir des débris à proximité des bâtiments brûlés.
Ces images nous choquent, car elles montrent à quel point les explosions nucléaires peuvent être dévastatrices et dangereuses.
A la suite de cet événement, la production d'électricité nucléaire a été stoppée au Japon, mais le pays a décidé de remettre en marche une centrale dès 2015 !
Nos sources : http://md1.libe.com/photo/627403-fukushima-carte.jpg
- Libération
- Wikipédia
- Manuel Belin, histoire-géographie (2016)
de Mélyna et Enora